Proscrire la ponction lombaire (Risque de décompensation brutale).
Radiographies rachidiennes face et profil : révèlent les modifications osseuses et éventuel atteinte des parties molles;
IRM médullaire (séquences T1, T2 et avec injection de gadolinium) sous anesthésie générale ou une bonne analgésie permet :
. préciser la topographie lésionnelle (épidurale, intradurale extra- ou intramédullaire);
. évaluer la souffrance médullaire;
. orienter le diagnostic étiologique;
. guider une éventuelle biopsie.
Myéloscanner : si difficulté ou contre-indication à l’IRM, permet de
. visualiser les rapports de la moelle avec les structures adjacentes dont le rachis;
. orienter le diagnostic étiologique;
. guider une éventuelle biopsie.
Echographie médullaire (avant 4-6 mois) : Explore les parties molle et oriente le diagnostic (neuroblastome, lymphome…)
Biologie : Hémogramme +/- myélogramme ou biopsie médullaire (hémopathies, neuroblastome…)